Écrivain

Μarina Vamvakas est née à Larissa, en Grèce. Durant son enfance, elle a voyagé et s'est installée avec sa famille pour une courte période à Constantinople, la patrie de ses parents grecs d'origine byzantine. Ce changement de vie a influencé son âme d'enfant, qui s'est imprégnée d'images, d'impressions, de sons, de convictions qu’elle a gardées jusqu’à maintenant.

Les souvenirs et la beauté de ce coin de la planète sont devenus au fil du temps, une source d'inspiration pour l'écriture.

Ses livres sont des best sellers en Grèce et à Chypre. Ils ont fait leur entrée dans les maisons, ont séduit un grand nombre de ses lecteurs en les touchant en plein cœur, les submergeant d'une grande émotion.

 

  • "Sekerim"

    Constantinople, fin du XIXe siècle.

    Anastassia, la belle chrétienne grecque est la brodeuse de la Sublime Porte. Elle sert avec amour et dévouement le Sultan Abdülhamid II. Ce dernier l'appelle Sekerim : ma douce, ma gracieuse. S'ensuit une histoire d'amour passionnée. Du fruit de cet amour naîtra un garçon, le Prince Omer Hallil, dont l'existence est son grand secret. Toute sa vie, elle la consacre à broder de ses mains expertes les atours de son sultan, de les recouvrir de fils d'or et d'argent, de les orner de diamants, de rubis, d'émeraudes. L'admiration en même temps que l'attachement qui la lie à son Patisah, lui font oublier les souffrances, le tumulte, la clameur et les massacres qui se déroulent à sa porte, à Constantinople, dans les villages alentour, dans les Principautés et le Royaume.

  • "Moi, Elisabeth"

    Élisabeth,

    femme forte, pleine de sagesse et de confiance en elle, a fait face à son destin avec hardiesse et conscience. Elle s’est confrontée courageusement à de nombreuses épreuves qui ont commencé en 1922 avec le décret de Mustapha Kemal ordonnant l’expulsion obligatoire des Grecs des villages hellénophones de Cappadoce.